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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 05:16

                                                                                   Grignan le…….  

 

  

 

Ma chérie,  

 

Quel merveilleux séjour et quelle chance de t’avoir comme amie…. 

 

Ces quatre jours m’ont ravi, mais si je t’écris si vite ce n’est pas seulement pour te dire cela, mais pour te raconter une bien étrange histoire.  

 

Comme je te l’avais dit, au retour je me suis arrêtée à Valence. Claude m’attendait sur le quai, je n’eus pas à la chercher longtemps, elle était superbe et on ne voyait qu’elle. 

 

Notre amie devient de plus en plus belle, son visage encore plus doux, est pareil à celui des madones. Son corps généreux à celui des statues grecques, elle est une de ces femmes rondes des icônes.  

 

J’ai baisé chacune de ses joues deux fois. (Une fois de plus pour toi).  

 

Elle m’a demandé de tes nouvelles, fut ravie que tu ailles si bien, elle était heureuse. Nous avons pris le petit déjeuner à la cafeteria de la gare rapidement.  

 

Je dus très vite repartir. Je pris le film du reportage qu’elle avait réalisé sur les aveugles, embrassais une fois de plus ses joues douces et filais… 

 

Je suis arrivée à Grignan au milieu de l’après-midi, il faisait chaud. J’ai pris une douche et me suis installée toute nue sur mon canapé pour visionner la cassette de Claude. J’étais impatient de voir son travail. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque dès les premières images, je reconnus le salon de Claude : elle ne m’avait pas donné la bonne bande … 

 

Je faillis arrêter le magnétoscope mais une vilaine curiosité me poussa à regarder encore un peu… 

 

La camera était fixe. Placée sur le côté de la fenêtre, je voyais l’ensemble de la pièce comme si j’avais été sur le balcon, elle était vide, seul le vacillement des flammes de plusieurs bougies posées à même le sol, l’animait. 

 

J’étais de plus en plus intriguée et j’eus soudain très peur que tout s’arrêta là. Je croisai les doigts, il fallait que je sache pourquoi cette mise en scène.  

 

Je baignais dans un mélange d’inquiétude et d’excitation  lorsqu’une silhouette se profila dans l’ombre. Je vis alors la chose la plus insolite, la plus inattendue de mon existence. 

 

J’eus du mal à la reconnaître tant elle était pâle, Claude car c’était bien elle, avançait au centre de la pièce revêtue d’une robe de communiante….  

 

Le téléphone sonna… Elle décrocha rapidement, la voix de son correspondant se fit entendre : 

 

-          As-tu fait tout ce que je t’ai demandé ? 

 

Elle répondit : oui, d’une voix étranglée.  

 

-          Maintenant, ouvre le second paquet, mais avant poses le combiné devant le caméscope et pousse l’ampli au maximum.

 

Je la vis s’approcher, ses hanches larges prirent la quasi-totalité de l’écran. Lorsqu’elle se baissa et que son visage apparut à son tour, elle était livide. Elle avait peur et cette peur lui donnait une beauté étrange. 

 

L’homme parla :

 

-          Maintenant, relèves ta robe, je veux que tu me montres si tu as été obéissante. 

 

Face à l’objectif, Claude fit remonter l’aube sur ses cuisses généreuses, hésita un instant et continua jusqu’à la taille, dévoilant un pubis lisse, un mont de Vénus bombé, sans aucun poil ; un sexe d’enfant sur un corps de femme, un corps fertile et ample.  

 

-          Tournes toi dit l’homme.  

 

Elle pivota sur elle-même dévoilant un des plus beau postérieur que j’eus pu voir. 

 

Deux fesses d’une rondeur parfaite, satinées, deux galets polis et blancs. Au centre, le mystère … 

 

Je me surpris à souhaiter le percer et ma joie vint vite car l’homme à nouveau se fit entendre :  

 

-          Ecartes toi, penches toi en avant. Je veux te voir là aussi, là où tu es la plus secrète. Je veux voir ton œil, ton anneau. Je veux le voir se crisper et s’ouvrir, frémir.

 

Obéissante, les doigts imprégnés dans sa chair, elle s’écarta…  

 

J’étais abasourdie, mon cœur battait si fort que j’en sentais l’écho dans tout le corps jusqu’au bord des lèvres.

 

Ma chérie, je te jure que je n’ai jamais été troublée à ce point. Je n’aurais jamais cru qu’une femme puisse m’émouvoir à ce point. Je la regardais tant  que j’en arrivais à me  prendre pour elle et c’était moi qui m’offrais ainsi. Qui offrais ses reins, son œillet. J’eus l’impression que mon cœur ne battait plus que là, où se posaient mes yeux. 

 

Tu ne me croiras pas mais je me mis à trembler. Comme quand pour la première fois alors que j’étais encore une enfant en Provence, pendant les vacances, tandis qu’à nos côtés tu dormais, ton frère Jean posait sa langue sur cette petite perle que nous avons-nous et qui nous ravit tant.  

 

Ma chérie, j’aurais honte de raconter cela à une autre que toi, mais je sais aujourd’hui que tu trouves aux femmes bien des attraits et je sais aussi que si tu avais été à mes côtés, tu aurais été émue comme moi… 

 

Dieu sait ce qui se serait passé, mon amie. Je crois qu’à ce moment là j’aurais pu tout accepter de toi (ce que tu attends depuis si longtemps) mais je suis folle de te parler ainsi, d’autant plus que ce n’est pas fini, loin de là….

 

Après qu’il lui fit montrer ses seins blancs, cette poitrine lourde que tu aimes, ses mamelles de femme que tu envies « j’aimerais la téter » m’as-tu dit un jour. Te souviens tu comme cela m’avait choqué ?

 

Les seins de Claude, la magnifique poitrine de Claude aux tétons arrogants sous la blouse stricte, comme je te comprends aujourd’hui… 

 

Après qu’elle eut montrer sa gorge et qu’elle lui eut dit, il lui demanda de sortir de la boite les deux objets qu’elle contenait. 

 

Claude accroupie, assise sur ses talons fouilla… 

 

Le premier objet qu’elle saisit était un long chapelet fait de perles de buis, grosses comme des cerises et d’une croix grande comme la moitié de sa main. Le deuxième était une statuette haute de deux empans représentant la vierge Marie les mains jointes dans la prière.  

 

Un nouvel ordre arriva :  

 

- je veux que tu t’étendes, que tu cales tes reins, que tu enfiles une à une les perles de ce chapelet dans ton con. 

 

A chaque perle enfouie, je veux que tu t’insultes, je veux entendre de ta bouche d’ange les pires mots. Je serai sans pitié si tu ne t’exécutes pas, tu le sais ! 

 

Que pouvait savoir l’homme sur elle pour qu’elle accepte de se soumettre ainsi ? Qu’avait bien pu faire notre belle et sage Claude pour se plier à sa volonté.  

 

-          Je ne pourrais pas, dit Claude doucement, j’ai trop envie de faire pipi. 

 

-          Eh bien vas-y dit la voix 

 

-          Je reviens  

-         Non, tu n’as pas compris. Ici ! je veux que tu t’épanches ici. Allongée.  

 

-          Tu es fou, murmura-t-elle. 

 

-          Fais ce que je te dis après tout tu n’es qu’une pisseuse. Alors pisses. Et que j’entende le jet.  

 

Sa voix avait grossi, il ordonnait.  

 

-          pisses, allonges toi, relèves ton bassin, cambres toi, urines. 

 

Elle fit ce qu’il demandait. Elle souleva ses fesses et resta en appui sur  ses épaules. Son ventre se durcit, son œillet mauve que je voyais maintenant fort bien se dilata un peu. 

 

-          je n’y arrive pas, j’ai trop honte 

 

-          j’attendrais, dit-il  

 

Il y eut un long silence, sa position inconfortable la faisait trembler. Je voyais ses sphincters se contracter. Puis son visage devint rouge, ses yeux se remplirent de larmes et un long jet doré jaillit jusqu’à ses pieds. Elle laissa échapper un sanglot qui se mélangea au bruit de cataracte. 

 

La voix de l’homme résonna :  

 

-          fais toucher tes genoux !  

 

Elle obéit et le jet se transforma en un petit torrent qui suivit sa fente, lui inondit les reins, puis l’espace entre ses cuisses jointes se remplit et déborda sur son ventre.  

 

Elle ne pouvait plus s’arrêter, c’était comme une marée qui maintenant envahissait son nombril, courait entre ses seins, venait mouiller son cou, ses cheveux et malgré le vêtement retroussé, se mélangeait à ses larmes… 

 

 

Puis au bout d’un long moment, comme une éternité, dans un spasme, elle s’effondra.  

 

Ce spectacle m’avait fasciné, j’étais en nage, trempée, comme notre amie. 

 

L’homme ne lui laissa aucun répit.  

 

-          fais ce que je t’ai demandé ! 

 

La première perle entra dans son intimité inondée. La première insulte qu’elle s’infligea, ce premier mot ordurier dans sa bouche me coupa le souffle. Puis la deuxième perle poussée par son ongle carmin : 

 

-          oui, dit-elle, je suis une putain…  

 

Puis la troisième ; et un chapelet d’injures… Etrange exorcisme. Les horreurs qu’elle disait d’elle étaient toujours plus grandes, plus cruelles. Des mots odieux, des mots de bordel, de pissotière, des mots sales, qui dans la bouche de Claude s’auréolaient étrangement.  

 

Elle disait en des termes crus que je ne peux t’écrire, qu’elle voulait être écartée, envahie. Tous les mots pour désigner le sexe de l’homme, celui de la femme étaient dits. Elle était odieuse et magnifique, elle fabriquait d’étranges êtres, mélange d’homme et d’animal qui la saisissaient, tordaient son corps, la souillaient. 

 

-          ta longue bite de chien, dit-elle à un moment.  

 

 et moi, je vis un homme à tête de loup la saisir, un loup au regard d’homme aggriper ses reins et une longue verge luisante et rouge, s’enfoncer en eux.  

 

Claude n’était plus qu’une femelle parmi d’autres femelles, un être magnifique et superbe.  

 

 La moitié du chapelet était en elle. Elle allait de plus en plus vite. 

 

-          je suis une roulure, une éponge à foutre…  

 

Les mots les uns derrière les autres formaient une litanie.  

 

Elle poussait dans son sexe ouvert les perles toujours plus vite, ses doigts devenaient de plus en plus fébriles. Il ne restait plus que la croix hors de son corps lorsqu’elle se mit à jouir… La violence de son plaisir fut si grande, que je crus défaillir avec elle.  

 

Puis son corps s’alourdit, sa tête bascula sur le côté. Ses bras tombèrent le long de ses flancs, sur le sol encore luisant…  

 

A la commissure des lèvres, un filet de salive brillait. Plus bas, le long du crucifix, entre ses cuisses disjointes, son plaisir coulait.

 

Un de ses seins blanc était sorti. Elle était d’une immense beauté. 

 

-          Bien, dit l’homme, que j’avais un moment oublié, maintenant saisis toi de la statuette et regardes la, regardes son visage de sainte, le même que le tien et écoutes bien ce que je vais te dire.  

 

Il y eut un silence…  

 

-          M’as-tu entendu ? interrogea-t-il 

 

-          Oui, balbutia-t-elle. 

 

Bien, écoute moi : je veux que ce visage, ce corps de femme qui prie disparaissent en toi. Je veux que tu le prennes, que tu t’en saisisses, que  tu l’absorbes dans tes entrailles. As-tu compris ? Je veux que cette femme qui prie, t’encule. 

 

Les yeux de Claude s’ouvrirent démesurément. 

-          Mais ce n’est pas possible ! c’est énorme … 

 

-          Il suffira que tu sois souple, tu n’as pas le choix, si ce que je te demande n’est pas enregistré sur la cassette, tu sais ce que je ferai… tu le sais, n’est ce pas ?

 

-          Oui, je le sais. 

 

Et moi, je sus qu’elle allait faire ce qu’il demandait. 

 

Elle descendit l’objet vers son intimité passant son bras derrière elle, appuya la tête drapée contre son petit trou. Elle mordit sa lèvre. Je vis son poignet se crisper, ses reins reculer et la tête de la statue forcer l’orifice, s’y insérer en lui arrachant un cri rauque. Elle s’était ouverte jusqu’à en avoir mal, elle haletait et mordait l’index replié de sa main libre. 

 

J’étais sidérée, la scène qu’elle offrait était d’une impudeur totale et avait quelque chose de sacré, tant elle était émouvante. 

(Je suis obligée de te dire ce que j’ai ressenti, alors ne m’en veux pas).

 

Claude, écartelée, son cul majestueux éclaté, était divine. Elle poussa à nouveau. Comme la statuette refusait de rentrer davantage, elle fit ressortir légèrement la partie engloutie, commença un lent va et vient, gagnant à chaque poussée quelques millimètres.

La tête de Claude dodelinait. Elle avait fermé les yeux et laissait échapper maintenant entre ses lèvres disjointes, une plainte continue… Son corps avait roulé sur le côté, son bras passait derrière sa hanche, ses seins débordaient de la robe relevée. La statuette allait et venait dans son ventre, accueillie jusqu’aux épaules dans ses chairs dilatées… Une ou deux fois, elle ressortit entièrement. Je pus voir son visage ainsi que l’anus ouvert de Claude, qui semblait l’attendre. Mais elle ne pouvait toujours pas explorer cet antre entièrement.  

 

Claude se cambra davantage, les muscles de son bras se tendirent et soudain l’objet fut comme aspiré, poussant les globes laiteux, écartant les chairs, il disparut dans les entrailles de notre chère Claude, de notre reine qui resta pétrifiée, la bouche ouverte, muette. 

 

 Ses yeux étaient devenus transparents, un peu de bave coula sur sa joue, ses seins découverts dardaient leurs pointes, ses mains maintenant inutiles reposaient sur le sol. Tout son corps semblait tenir comme suspendu par cet axe, ce pivot monstrueux qui la fouillait, la clouait, la crucifiait. 

 

Le silence dura longtemps, l’immobilité n’était troublée que par le léger balancement du crucifix toujours niché dans l’autre sanctuaire. 

 

La voix de l’homme résonna… 

 

-          Maintenant, saisis toi du chapelet et sors le de ton corps sans attendre. Fais le sortir de toi comme sortirait un enfant. Vas ma belle, tires. 

 

Notre amie obéit et je vis les perles une à une sortir de son chat, sortir de plus en plus vite pour ne faire qu’un trait. Le corps de Claude toujours empalé fut comme traversé par un arc électrique. Il se souleva jusqu’à la rupture, se tordit, se convulsa et un cri, comme un long feulement envahit ma tête, mon ventre. Alors sans que j’eus à toucher une seule parcelle de ma peau, je jouis avec elle, basculais dans un bonheur sans fin, devenais liquide et perdais connaissance. 

 

Voilà ma tendre amie, il fallait que je te raconte cette histoire. Je suis encore si troublée. Et toutes ces questions que je me pose. Qu’a fait Claude pour être ainsi punie ? En as-tu une idée, toi ? Penses tu connaître cet homme qui semble si bien la connaître elle ? Ecris moi vite, j’ai hâte de te lire. 

 

     

    Je te serre contre mon cœur,  

 

         A bientôt ma belle, 

 

                                                            Ta Mickey 

 

 

 

 

Par Pierre - Publié dans : Textes
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Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 16:36

Que de l'eau ...

Regarde , imagine ...

Par Pierre - Publié dans : Photos
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Lundi 18 décembre 1 18 /12 /Déc 06:28

On dirait...

un lointain rêve...

Une buée envahissait la glace de la fenêtre… le nez collé dessus devenait rouge…les yeux fixes observaient l’extérieur blanchâtre… des flocons de neige envahissaient le paysage d’un long manteau éclatant… c’était la fin de l’année, un soir de Noël !
Près d’un grand sapin aux effets multicolores, aussi bien ses décorations que ses lumières clignotantes, s’entassaient des gros paquets de papiers brillants ornés de beaux nœuds satinés.
Comme pour tous, c’était le grand soir, l’excitation était à son comble, un peu de nervosité aussi... fébrile ? Sans doute...
La journée avait été difficile, tant à préparer... surtout ne rien oublier. Les préparatifs sont toujours une course contre la montre. Un dernier regard sur la pièce... besoin de tout vérifier encore une fois, tout doit être parfait pour la venue de " Mon père Noël ".... Le miroir me renvoit l'image d'une femme apprêtée... maquillage de soirée, crinière rousse maîtrisée en un chignon bouclé, vêtue de noir... machinalement d'une main, je tire sur l'élastique du bas-top et de l'autre frotte mon nez encore rouge par le froid de la vitre. Mes yeux y reviennent inexplorablement. Dans l'attente, on s'aperçoit que les secondes sont des minutes...  le temps s'écoule si doucement dans ces moments là. Je sursaute...  j'entends le claquement d'une portière alors que je suis partie dans les douces rêveries de notre dernière rencontre si... piquante.
Mon visage s'illumine. Il est là " Mon père Noël "...
Monsieur est habillé de noir, quelques flocons de neige sur les épaules et chargé de paquets. Après les avoir posé, il s'approche de moi, m'embrasse goulûment et longuement. Une main tenant fermement ma tête et une autre errant sur mon torse. Elle glisse sur mon bas-ventre, puis longe ma cuisse jusqu'au bas de ma jupe de mousseline qu'elle remonte délicatement. Elle frôle les bas de soie et ses doigts vagabondent plus intimement. Je sens un sourire à travers ses baisers. Libre de tissu, mon intimité complétement accessible, j'ai obéi à sa demande. Je sais qu'il apprécie aussi le glabre de mon mont de Vénus. Il le caresse langoureusement, puis fermement comme pour démontrer que ça lui appartient, que c'est son bien.  Il descend prestement dans mon entrejambes, pince et tire la dentelle des petites lèvres. Une phalange s'introduit facilement dans la fente mon abricot à la ligne pure.
" Mmmmm... déjà mouillée, ma douce ! " murmure-t-il avant de m'embraser dans un baiser fougueux.
Il me mord la langue... surprise, j'essaye de dégager ma tête mais il la maintient durement. Ses dents s'attaquent à ma bouche, mes lèvres... de petites morsures, pendant que des doigts fouillent mon antre gluant... mon jus de femme coule dans sa paume.
Tout à coup, comme si les trois coups d'une pièce de théâtre grondaient, il me lâche et m'esclaffe :
" J'ai ramené quelques cadeaux pour ma douce... et du champagne ! "
Fin un peu brutale du bonsoir....
Nous nous installons confortablement sur la canapé avec des flûtes perlant de champagne et de fraîcheur. Une petite réflexion de Monsieur, car j'ai mal relevé ma jupe pour m'assoir... c'est impératif, aucun tissu entre le cuir froid du canapé et mon séant.
Dans le regard de Monsieur, cette étincelle coquine...  il regarde la bouteille de champagne et un sourire effleure sa bouche si bien dessinée. Ses mains se font plus pressantes, elles déboutonnent mon chemisier et titillent mes tétons. Plus ils durcissent, plus il les serre. Plus ils gonflent, plus il les étire. Puis il les plonge dans le champagne froid... de petites bulles picotent ma chair. Mes framboises si chaudes dans un bain froid... une sensation étrange m'envahit... le plaisir du contraste. Sa bouche s'en approche... elle se colle dessus comme une ventouse.  Ses dents les mordillent en les tirant, les aspirant. Sa langue pointue joue avec. Elle lèche avidement, tourne autour puis revient à la charge. Chaque frôlement, chaque souffle me fait tressaillir. Mon esprit déjà se perd dans toutes les envies que réclament mon corps. 
En me levant pour servir du champagne, un auréole apparaît sur l'assise du canapé... j'en rougis... déjà si excitée par Monsieur, que ma cyprine a coulé sur le cuir.
Après le remplissage des flûtes, nous trinquons.  Monsieur me demande de m'assoir sur ses genoux, face à lui. Mes genoux longent ses hanches fermes. Doucement, il ouvre progressivement ses cuisses musclées, ce qui m'oblige à écarter les miennes. Il me bise les paupières pour les fermer. Aveugle, un peu euphorique, je perds un peu l'équilibre, mais Monsieur me rattrape plus vite que je ne réagis. A sa demande, je pose mes mains sur ses épaules.  Stable, je peux appréciér la douceur des paumes de Monsieur qui parcourent mon derme, comme celle de sa bouche sur ma peau.
Soudain, Monsieur me fait basculer sous son bras gauche et m'emprisonne. Une chaleur piquante rebondit sur mes fesses, complétement offerte à ses mains.  Une... deux... trois claques ont surpris mon postérieur. Dans le même élan, aisément, il introduit un objet froid dans mon intimité ouverte au vagin dégoulinant.  Ma respiration s'accélère dès les premiers va-et-vient. Mon corps frissonne. Des soubresauts démontrent que je ne suis pas insensible à l'action de Monsieur. Au contraire... très réceptive, il augmente la rapidité et enfonce plus profondément dans mon abricot demandeur.... la bouteille de champagne.  Mes bouts de seins écrasés sur le cuir...  ma poitrine bouge à la même cadence que la pénétration du goulot de la bouteille. Impossible de penser, je ne peux que me laisser aller dans le volupté d'un désir attendu. Je sens mon coeur bondir dans ma poitrine, mon sang taper mes veines... Ma respiration se saccade de plus en plus rapidement. Très vite, mon dos se hérisse, mes râles sauvages résonnent dans la pièce... 
Monsieur me relève et m'ordonne de lécher le goulot de la bouteille et de boire le fond de champagne.  Ce que je m'empresse de faire. A la recherche de son regard... mon âme se mire dans ses grands yeux clairs.

Nous n'avons pas encore touché aux amuse-gueules.
Il y a encore 3 plats et un dessert...
Toute la nuit devant nous...  hummmmm...
C'est Noël...

Guts

Par Guts - Publié dans : Textes
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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 21:25
    Il va falloir trouver quelque chose maintenant ...
Par Pierre - Publié dans : Textes
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 23:18

Je vais vous parler, mais doucement, dans le creux de l'oreille, tout prés de votre cou. J'aimerais que vous sentiez mon souffle, que vous ayez l'impression de le reconnaître...

 

Par Pierre - Publié dans : Photos
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